Après la dégustation à Trinque Fougasse Sud, nous préparons celle de Trinque Fougasse Ouest (Montpellier), le 28 mars.
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Oui, car nous voulons les stabiliser et les protéger de toute attaque bactérienne. Rien de plus triste que de voir un vin partir "en vrille" et finir dans l'évier ! Cela dit, l'hygiène que nous imposons au cours de toutes nos opérations et le soin apporté lors des différentes étapes de la vinification sont tels que les quantités employées sont toujours très réduites. Elles sont largement inférieures aux doses maximales prévues par la charte bio (150 mg/l pour les rosés et les blancs ; 100 mg/l pour les rouges).
Les rafles et le marc sont épandus dans nos vignes et enrichissent le sol en matières organiques. Les lies, dont les quantités produites sont très contrôlées par le service des Douanes, sont amenées à la distillerie de Saint-André-de-Sangonis (34). On nous demande même de noter sur un formulaire à quelle heure nous quittons la cave avec ces lies et quelle est la durée estimée du trajet jusqu'à la distillerie ! Véridique…
Parce que mettre du vin proprement en bouteilles, c'est un métier, dont nous n'avons ni les outils ni les compétences. Certes la prestation a un coût élevé, mais en quelques heures de travail, la production de l'année est mise en bouteilles, les bouteilles gravées (avec un numéro de lot) puis rangées dans les cartons, les cartons empilés sur les palettes et les palettes filmées.